jeudi 15 mars 2012

C'est la faute aux biscuits.

Maintenant que la boite est finie, on devrait avoir la paix.

Ce n'est pas humain de ne pas pouvoir vivre dans la même maison qu'une boîte de Décadents sans obséder ou fléchir.

Elle est où, la fille qui arrivait à déguster un biscuit puis à s'arrêter?

Partie, à l'évidence...

La pompe à Morphine, euh, à chocolat, m'aide bien entre les repas. Mais quand une bouchée non autorisée par ma conscience et ma volonté franchit mes lèvres, c'est la débandade...

Argh.

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