jeudi 15 décembre 2011

Je suis passée au travers, et j'écris avec le quart de cerveau qui me reste après ces deux examens neuronalement exténuants. Mieux encore, je n'ai même pas compulsé, ni en étudiant, ni dans ces jours de stress intense. Je n'en ai même pas eu envie. Que c'est étrange... et que ça me fait plaisir!

Il y a peut-être un lien, ou pas, mais j'ai commencé à prendre du vinaigre de cidre avec mes repas, et j'ai beaucoup moins de rages alimentaires. Le vinaigre de cidre agirait un peu comme la metformine qu'on donne entre autre au diabétiques et aux femmes qui ont un SOPK. À en croire ceux qui le prenne comme un vrai élixir, il aurait aussi bien d'autres propriétés, mais je connais surtout ce produit pour en avoir vendu pendant quelques années, dans mon kiosques de pommes, de miel et d'érable du marché Jean-Talon. Je me souviens que les gens qui l'utilisaient pour ses vertues me parlaient de miracles, particulièrement pour les problèmes de douleurs arthritiques. Quoi qu'il en soit, ça ne peut pas vraiment me nuire: je connais le producteur, mon ancien patron, et ses produits son de super qualité et viennent aussi en version biologique. Je me sens particulièrement énergique depuis 2 jours, peut être le hasard, peut être pas!

Et vous, prenez vous des produits de santé naturelle? 

mercredi 14 décembre 2011

J'aimerais partager avec vous un petit truc tout simple qui fonctionne bien pour moi depuis quelques semaines.

Quand une envie de manger émotionnelle se pointe, je ne me l'interdis pas. Je me demande seulement d'attendre 15 minutes avant de manger.

J'ai réalisé qu'il ne m'est pas trop utile de me demander ce qui me donne envie de manger lorsque je suis à l'apogée de la tempête, que je ne vois plus clair et qu'un gros morceau de fromage calmerait les vagues. 15 minutes plus tard, la tempête est souvent plus calme. Je peux alors me demander pourquoi je voulais manger, et si je veux encore le faire.

Et si j'en ai toujours envie? Eh bien, je mange. Et c'est alors beaucoup plus facile d'être calmée par l'aliment. Plus souvent qu'autrement, l'urgence de l'envie s'est apaisée.

Mais pour que ça fonctionne, du moins pour moi, il faut vraiment se donner le droit de manger si l'envie forte est toujours là! Ma coach LC m'avait conseillé cette stratégie, mais je l'ai essayée dans le but de ne pas manger, avec l'obsession de maigrir. Lorsque mon psy m'en a reparlé, je l'ai essayée sans trop me prendre la tête. Et ça fonctionne.

Je n'aurais surement pas du me peser en ces temps de stress scolaire et familial, mais la balance avait pour moi de très belles nouvelles ce matin. Eh non, je n'ai pas passé le cap des 80 kilos, ma courbe de poids ressemble encore à un tracé d'électrocardiogramme, mais ça va dans la bonne direction, et j'ai perdu plutôt rapidement 3 kilos sans vraiment m'en rendre compte.

Bizarrement, je sais que c'est de ces nouvelles dont je dois me méfier le plus. J'ai la fâcheuse tendance de me féliciter par de la bouffe, de m'autosaboter, de tout faire pour revenir là où j'étais...

Mais je commence aussi à comprendre de l'intérieur que pour réussir, je dois être souple et douce avec moi même. Et qu'il faut que la nourriture prenne un place normale dans ma tête, sans que la méthode devienne une obsession comme une autre. C'est difficile pour la perfectionniste totalitaire que je suis, mais c'est une belle occasion de devenir meilleure dans tous les domaines de ma petite vie!

lundi 12 décembre 2011


Un petit aperçu du travail nécessaire de Jean Kilbourne...

dimanche 11 décembre 2011

Qu'en pensez vous?

mardi 6 décembre 2011

J'ai, oui, encore, un nouveau thérapeute.

Je magasine les psychologues ces temps ci, à la recherche de quelqu'un avec qui je me sente à l'aise et à qui je fasse confiance. Le mauvais coté d'avoir été soi-même dans la relation d'aide professionnelle pour d'autres personnes, c'est qu'on devient très exigeant et critique, ce qui ne rends pas facile de se laisser aider. J'ai besoin d'un thérapeute intelligent, cultivé et qui possède un bon bulshitomètre pour m'aider à ne pas lui dire que oui tout va tellement bien monsieur, de quelqu'un qui accepte aussi de discuter de théories, d'opinions et qui ne croit pas posséder de facto la suprême vérité divine, de quelqu'un que je respecte comme personne et comme professionnel...

Si on devait juger le potentiel d'une relation thérapeutique avec la capacité du thérapeute à mettre le doigt sur ce qui fait mal rapidement sans chercher dans des coins inutiles, je crois que je pourrais dire que j'ai mis la main sur un as de la psychothérapie.

Je précise que je suis allée voir ce monsieur en lui demandant de m'enseigner des techniques d'ACT pour mieux gérer mes compulsions alimentaires. Ce qu'il fait... entre autre! Je me retrouve manifestement devant un homme expérimenté qui en a vu d'autres.

Hier, deuxième rencontre, je suis arrivée dans le bureau, et nous avons parlé d'angoisse de séparation et d'histoires d'abandons douloureuses vs ma vie et ma relation avec ma fille, et je me suis surprise à ne pas me censurer, à y aller dans toute ma vulnérabilité. J'en suis sortie vidée, littéralement, mais aussi plus légère.

J'aimerais juste partager un vidéo qu'il m'a envoyé aujourd'hui avec vous.
J'ai, encore, un nouveau thérapeute.

Je magasine les psychologues ces temps ci, à la recherche de quelqu'un avec qui je me sente à l'aise et à qui je fasse confiance. Le mauvais coté d'avoir été soi-même dans la relation d'aide professionnelle pour d'autres personnes, c'est qu'on devient très exigeant. J'ai besoin d'un thérapeute intelligent, cultivé et qui possède un bon bulshitomètre pour m'aider à ne pas lui dire que oui tout va tellement bien monsieur. Quelqu'un qui accepte aussi de discuter de théories, d'opinions et qui ne croit pas posséder de facto la suprême vérité divine.

Si on devait juger le potentiel d'une relation thérapeutique avec la capacité du thérapeute à mettre le doigt sur ce qui fait mal rapidement sans chercher dans des coins inutiles, je crois que je pourrais dire que j'ai mis la main sur un as de la psychothérapie.

Je précise que je suis allée voir ce monsieur en lui demandant de m'enseigner des techniques d'ACT pour mieux gérer mes compulsions alimentaires. Ce qu'il fait... entre autre! Je me retrouve manifestement devant un homme expérimenté qui en a vu d'autres.

Hier, deuxième rencontre, je suis arrivée dans le bureau, et nous avons parlé d'angoisse de séparation et d'histoires d'abandons douloureuses vs ma vie et ma relation avec ma fille, et je me suis surprise à ne pas me censurer, à y aller dans toute ma vulnérabilité.

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samedi 3 décembre 2011

Il y a des hauts, il y a des bas, mais grossièrement, ça va!

En espérant que la semaine d'examens concentrés qui arrive bientôt ne me fera pas perdre trop de boulons...

C'est que j'ai une moyenne de A+ à maintenir, moi, pour devenir psychologue! Et pas des masses de temps qui viennent avec ça!

La maternité, ça vous change de rythme, vous oblige de diluer la concentration de vos activités pour faire des tours de blocs, lire Tchoupi pour la 400 000e fois et bercer la progéniture jusqu'à l'étourdissement. Et par dessus cette tâche somme toute fantastique, la toilette doit être lavée de temps en temps, la vaisselle faite un peu plus souvent et le souper régulièrement. Vous avez là un agenda complet, où il faut encore caser la vie de couple, les études, les amis et tous ces trucs reliés à noël. C'est sans oublier que la dernière vraie nuit dormie remonte à plus de 19 mois.

Mais comment font celles qui, en plus, ont une activité professionnelle? Et il faut dire que chez moi, le ménage, c'est approximatif, et l'amoureux très participatif... Il parait qu'il y a vraiment des femmes qui assurent dans tout. Elles ont sans doute vraiment des superpouvoirs (ou alors c'est que la case enfant est laissée à la garderie?)

Allez, je file étudier pendant que la familia est au marché...