En attendant la faim...
Écrits exploratoires pas toujours sérieux.
vendredi 22 juin 2012
Je vous laisse en passant un gros merci pour les petits mots, qui me font toujours plaisir. On a fait un super voyage en France et on attend (vraiment très impatiemment) que la supervision de la construction du condo soit finie pour partir, peut-être moins longtemps que prévu initialement, prendre du temps précieux en famille...
L'envie lancinante: un sac de jujube. Ou plusieurs. Avec de la crème glacée à l'érable. Quelques gallons.
L'envie profonde: la sainte paix. Mon frère a passé les derniers jours à halluciner dans la rue. L'hopital ne juge pas bon de le garder et anyway, il ne veut pas y rester. Un citoyen, même schizophrène en crise et légèrement déficient intellectuellement, a tout ses droits. Il faut chaque fois que bibi aille discuter, ou plutôt supplier le psychiatre, le T.S. ou les organismes pour qu'il se passe quelque chose, temporairement. Ma mère, qui n'a pas les capacités de s'en occuper, n'a pas de toute façon le temps de le faire même si elle est en vacances dans la même ville que lui. Son nouvel amant lui prends du temps. Et devinez qui fait le psychologue de service avec elle et le beau-père?
J'ai rencontré le truc avec lequel ma mère parle maintenant de se marier. Vraiment, ma mère a le don de se trouver bullshitteux, et ça ne s'arrange pas avec le temps. Le nouveaux sujet de la dépendance affective de ma mère lui permettra peut-être de quitter un homme qui la maltraite depuis des années, mais ouf, on dirait un déficient avec un look d'itinérant et il ne parle que de trucs new age qui se rapprochent des délires de mon frère.
C'est mon karma du moment il faut croire, avec tous les amis qui se quittent, de faire le psy-médiateur. Je vais commencer à demander un tarif pour payer la crème glacée. Les psys ne suivent pas leur proches, et on comprends facilement pourquoi.
Et bon, il y a le stress, agréable tout de même, de dealer avec le promoteur pour que notre condo soit comme on le veut.
Et la culpabilité d'avoir une vie si belle et d'être heureuse à coté de tous ces gens qui souffrent et de sentir l'envie monter de tous les envoyer au diable.
Aujourd'hui, c'est tout de même la journée officielle du téléphone défectueux. J'ai prié mon amoureux de ne pas me laisser la voiture. Aujourd'hui, je cocoon avec ma fille, et peut-être que mon vélo sera invité. Peut-être...
L'envie profonde: la sainte paix. Mon frère a passé les derniers jours à halluciner dans la rue. L'hopital ne juge pas bon de le garder et anyway, il ne veut pas y rester. Un citoyen, même schizophrène en crise et légèrement déficient intellectuellement, a tout ses droits. Il faut chaque fois que bibi aille discuter, ou plutôt supplier le psychiatre, le T.S. ou les organismes pour qu'il se passe quelque chose, temporairement. Ma mère, qui n'a pas les capacités de s'en occuper, n'a pas de toute façon le temps de le faire même si elle est en vacances dans la même ville que lui. Son nouvel amant lui prends du temps. Et devinez qui fait le psychologue de service avec elle et le beau-père?
J'ai rencontré le truc avec lequel ma mère parle maintenant de se marier. Vraiment, ma mère a le don de se trouver bullshitteux, et ça ne s'arrange pas avec le temps. Le nouveaux sujet de la dépendance affective de ma mère lui permettra peut-être de quitter un homme qui la maltraite depuis des années, mais ouf, on dirait un déficient avec un look d'itinérant et il ne parle que de trucs new age qui se rapprochent des délires de mon frère.
C'est mon karma du moment il faut croire, avec tous les amis qui se quittent, de faire le psy-médiateur. Je vais commencer à demander un tarif pour payer la crème glacée. Les psys ne suivent pas leur proches, et on comprends facilement pourquoi.
Et bon, il y a le stress, agréable tout de même, de dealer avec le promoteur pour que notre condo soit comme on le veut.
Et la culpabilité d'avoir une vie si belle et d'être heureuse à coté de tous ces gens qui souffrent et de sentir l'envie monter de tous les envoyer au diable.
Aujourd'hui, c'est tout de même la journée officielle du téléphone défectueux. J'ai prié mon amoureux de ne pas me laisser la voiture. Aujourd'hui, je cocoon avec ma fille, et peut-être que mon vélo sera invité. Peut-être...
lundi 30 avril 2012
Juste trop de chance...
Quand ça va trop bien, je me sens mal. Comme si l'injustice de la situation, bien qu'à mon avantage, me rendait encore plus responsable du manque de karma des autres. Je n'ai tellement rien mérité de plus que ces femmes itinérantes avec qui j'ai travaillé pendant des années, ou que ma voisine, malade, monoparentale et qui peine à arriver. Mais tout roule terriblement bien. Sauf peut-être les 48 kilos que je vais prendre si je ne me re-saisis pas.
Je n'écris pas beaucoup, parce qu'on baigne dans 4012 projets encore secrets qui me font trépigner de bonheur et d'excitation, qui me rendent complètement insécure et qui triplent mes trips de bouffe.
Permettez moi d'échapper quelques secrets avant d'exploser.
Nous avons acheté un condo. Je n'aurais jamais osé souhaiter en avoir un si beau... Du coup, je vais être gênée de dire que c'est moi qui habite le coin du toit de l'ancienne manifacture, tsé, moi qui parle encore de simplicité volontaire... On a des murs de brique, des poutres visibles, des fenêtres mansardées, du cachet à n'en plus finir, de la lumière partout avec un solarium et une terrasse sur le toit, vue sur le centre ville et le Mont-Royal inclus. La localisation est juste parfaite, sur une belle rue tranquille, près du marché Atwater, de la piste cyclable, du métro et de l'autoroute. On avait pas prévu d'acheter si vite. C'était juste un coup de foudre.
Et du coup, puisque la livraison est à l'été 2013 et que les astres sont alignés, on a décider d'y aller pour un projet qu'on a envie de faire depuis longtemps. On laisse notre logement cet été, on stocke nos meubles et la voiture dans le garage de grand-maman en emportant que le minimum, et on part pour un an en famille... C'est un autre coup de tête fou. On a complété la vaccination de toute la famille, on compte aller parfaire notre espagnol en Amérique centrale avant de chercher un contrat humanitaire ou un contrat de pilote pour mon amoureux. Mais avant tout, ce sera du temps pour la découverte et pour être ensemble. On pense se concentrer sur l'Amérique latine pour 6 mois, puis un bout d'Asie pour le reste, mais le monde est ouvert et rien n'est fixé pour l'instant.
Mais il faut avant tout terminer de préparer notre voyage en France. Je pars jeudi chez belle maman, et mon amoureux, ma grand-mère et sa soeur viennent me rejoindre 3 semaines plus tars. J'ai tellement hâte de les voir réaliser un rêve en direct!
Je ne suis pas certaine d'avoir les nerfs assez forts pour vivre autant.
Ou assez de trous de ceinture.
Même en réalisant ces rêves fous, je suis assez pathétique pour angoisser autant sur les maladies tropicales que ma fille pourrait attraper que sur l'impossibilité de trouver du Kale et de manger low carb au fin fond du Guatemala. Et que dire de l'angoisse des photos de voyage. C'est fou comme j'ai perdu tous les acquis psychologiques (et physiques) pour lesquels j'avais travaillé si forts pendant mes années de vrai anti-régime. Ces jours ci, je ne fais qu'essayer vaguement, prisonnière de mes dernières lectures et de ma terreur de grossir ou de ne pas maigrir.
Je pense vraiment que le salut de mon âme se trouve quelque part entre l'impossible pleine conscience et l'inaccessible acceptation de soi. Et ça, où que je sois, c'est un combat contre la fuite.
La fuite, c'est ma grande spécialité. Mes premiers voyages ont été catastrophiques. Je pensais enfin pouvoir me soustraire à moi même et, au contraire, j'ai réalisé que le voyage oblige parfois une présence à soi douloureuse, lorsqu'on se retrouve ailleurs, au milieu d'étrangers dans des coutumes autres avec comme seule familiarité ce moi si inconfortable et insupportable.
Mais cette douleur est thérapeutique.
Je me souviens de mon premier "vrai voyage". J'avais décidé d'aller marcher le chemin de Compostelle, avec l'idée sous jacente de voir de beaux paysages tout en brûlant des calories. Tout ce temps seule avec moi même, en silence, m'a plutôt plongé dans mon intériorité pas très calme, mais qui ne demandait qu'à ressurgir. Je me souviens de tous ces heures à écrire, de tous ces souvenirs qui remontaient, des rêves la nuit et des réveils en larmes, et de ces yeux brouillés le jour qui m'empêchaient de voir les petites maudites flèches dans les km qui ne finissaient plus de se succéder... une vraie torture, mais dans le genre masochiste. Un mal qui fait du bien. C'est si libérateur d'avoir un espace temps pour être soi, déprimée et chiante, sans personne de significatif autour. C'est ce qui m'a lancée sur l'anti-régime au retour, plus connectée à moi même que j'étais.
Je ne sais pas si un tel retour aux sources est encore possible, avec un amoureux et une toute petite puce pour m'accompagner, mais j'ai l'intention de profiter de ce temps pour remettre de l'ordre dans ma tête.
Et continuer mon jogging...
Je cours maintenant 2 minutes d'affilées (et c'est presque la mort), en intervalles, pour 45 minutes! Ça aussi, c'est une autre histoire de chance. La vie a mise sur ma route une dame d'une cinquantaine d'année, la femme d'un collègue de l'Amoureux, qui se sentait seule au pays et que j'ai emmené presque par charité faire quelques activités sportives... J'ai découvert une femme extraordinairement inspirante qui m'a enseignée sans le vouloir à ne pas me fier aux apparence. Elle a grandit au Kenya (j'aime tellement l'Afrique de l'Est), a une histoire de vie peu commune et a décidé un matin de morosité de s'entrainer à courir le marathon des sables. Juste ça. Le marathon des sables, pour celles qui ne connaissent pas, c'est 240 km de course en autosuffisance alimentaire sur plusieurs jours dans le désert. Une pure folie donc. Elle elle l'a fait. Et maintenant, cette femme, qui n'a l'air de rien, a décidé de m'aider à m'entrainer pour que nous courrions un marathon ensemble. Entre ça et le désert, je me demande ce qui est le plus utopique... Mais bon, ça me fait une raison pour entrer dans mes souliers et arrêter de gémir. (En fait, je gémis toujours autant, mais bon...)
Bon, assez de lyrisme pour aujourd'hui. Le ménage m'attends avant que la sieste soit finie!
vendredi 13 avril 2012
Ces jours-ci j'affronte mon pire démon en face: l'impuissance.
Mon psy me parle de déni et de la nécessité d'accepter. Je n'en suis pas à l'acceptation, mais déjà, l'analyse de la réalité, ce n'est pas si mal.
Ça ne sera peut-être pas possible de maigrir. Voilà, c'est écrit.
La réalité, c'est que mes hormones font la fête sans moi et que j'ai toujours dans la tête un adénome hypophysaire sécrétant, ce petit détail que j'oublie toujours de mentionner sur les formulaires d'inventaire de santé.
Il m'emmerde. Pas que ce soit grave. Je préférerais juste l'oublier et c'est ce que je fais habituellement. Aujourd'hui, à défaut de détourner les yeux, je cherche une efface; naturopathe, acupuncteur, herboriste, n'importe qui. Et j'aimerais une conclusion comme cette fille, qui m'a soutiré quelques larmes de désespoir et de jalousie pour sa rémission spontanée...
Mon endocrino trouve que je m'en sors bien niveau poids. J'ai l'impression que ma grossesse a tout empiré et, en championne du déni, je reporte mes rendez vous depuis 2 ans... Je me suis simplement rendue à mon IRM, question de m'assurer que je pouvais continuer de ne pas penser à ça.
Ce blog, c'est peut-être l'histoire de comment on arrive à se rendre dingue et malade pour quelque chose sur lequel on a si peu de contrôle, sans vouloir l'admettre. Sans médocs, je grossis. Et les médocs font grossir.
Yé.
Pourtant, en ne régimant pas, j'ai perdu un peu. C'est déjà beaucoup. Et c'est la preuve que ça marche pour les normaux.
Accepter et faire simplement ce qu'on peut. Il faudrait que je m'y mette.
P.S.:Cette pub auquel fait référence la fille du blog en lien plus haut, m'a profondément choquée: http://www.sante.cfwb.be/index.php?id=3859
Qu'en pensez vous? Je ne m'étendrai pas sur le sujet. Vive les stéréotypes et les préjugés... C'est supposé être drôle?
Mon psy me parle de déni et de la nécessité d'accepter. Je n'en suis pas à l'acceptation, mais déjà, l'analyse de la réalité, ce n'est pas si mal.
Ça ne sera peut-être pas possible de maigrir. Voilà, c'est écrit.
La réalité, c'est que mes hormones font la fête sans moi et que j'ai toujours dans la tête un adénome hypophysaire sécrétant, ce petit détail que j'oublie toujours de mentionner sur les formulaires d'inventaire de santé.
Il m'emmerde. Pas que ce soit grave. Je préférerais juste l'oublier et c'est ce que je fais habituellement. Aujourd'hui, à défaut de détourner les yeux, je cherche une efface; naturopathe, acupuncteur, herboriste, n'importe qui. Et j'aimerais une conclusion comme cette fille, qui m'a soutiré quelques larmes de désespoir et de jalousie pour sa rémission spontanée...
Mon endocrino trouve que je m'en sors bien niveau poids. J'ai l'impression que ma grossesse a tout empiré et, en championne du déni, je reporte mes rendez vous depuis 2 ans... Je me suis simplement rendue à mon IRM, question de m'assurer que je pouvais continuer de ne pas penser à ça.
Ce blog, c'est peut-être l'histoire de comment on arrive à se rendre dingue et malade pour quelque chose sur lequel on a si peu de contrôle, sans vouloir l'admettre. Sans médocs, je grossis. Et les médocs font grossir.
Yé.
Pourtant, en ne régimant pas, j'ai perdu un peu. C'est déjà beaucoup. Et c'est la preuve que ça marche pour les normaux.
Accepter et faire simplement ce qu'on peut. Il faudrait que je m'y mette.
P.S.:Cette pub auquel fait référence la fille du blog en lien plus haut, m'a profondément choquée: http://www.sante.cfwb.be/index.php?id=3859
Qu'en pensez vous? Je ne m'étendrai pas sur le sujet. Vive les stéréotypes et les préjugés... C'est supposé être drôle?
mercredi 11 avril 2012
Un témoignage touchant...
Sinon, mon psy m'énerve par bout. C'est un excellent mentor pour ce qui est de la méditation et de la pleine conscience, mais pour lui, l'amaigrissement, ce n'est qu'une question de calorie-in/calorie-out. Ce qu'il ne comprends pas, c'est que même si j'ai probablement une meilleure alimentation que lui overall, malgré les compulsions, j'ai amoché mon corps avec les années de troubles alimentaires et de diète extrême. Mon système résiste à la perte de poids. S'il me suggère encore d'aller voir la diététiste qui lui a recommandé de boire des smoothies le matin ou de prendre des petites marches, je pense que je le mord.
Le problème n'est pas là. Je pourrais écrire une encyclopédie sur la nutrition. Le problème, c'est que je me suis remise à compulser, ce qui me fait grossir. Et que lorsque je ne compulse pas, je ne maigris pas. Mon corps semble avoir besoin de solutions inaceptables pour mon esprit. C'est toujours possible de tromper son corps, mais à quel prix, et pour combien de temps?
Les emmerdeurs me diront qu'il est vrai que je ne m'entraine pas beaucoup ces jours ci, et que ça aiderait sans doute. À celà, je répondrai que vous avez le droit de m'emmerder si vous savez ce que c'est, s'entrainer pour ne rien perdre du tout. Bien sur, il y a l'argument de la santé, mais il y a aussi les journées remplies, de bébé mais aussi de marches, de vélo... Que des excuses pour ne pas y aller plus fort, je le sais, mais je sais aussi que la plupart de ceux qui jugent n'ont pas "besoin" de mettre les pieds dans des running shoes et s'imaginent tout savoir sur la simple science de l'amaigrissement, alors qu'ils sont dans le champ. Bref, je devrais, mais ne le fait pas, et personne n'a le droit de juger ça sans marcher dans mes godasses.
Ma meilleure méthode de perte de poids, ça a été l'antirégime, et donc d'arreter de stresser avec l'affaire. Et voilà que je me retrouve encore avec un psy qui y croit à moitié... Je me retrouve donc seule contre mes idées régimiennes, sans quelqu'un qui comprenne vraiment la question pour me faire entendre raison.
Mais bon, malgré son incompréhension de la spirale hormonale (et psychologique!) du gain de poids, il m'aide. Indulgence donc!
Sinon, mon psy m'énerve par bout. C'est un excellent mentor pour ce qui est de la méditation et de la pleine conscience, mais pour lui, l'amaigrissement, ce n'est qu'une question de calorie-in/calorie-out. Ce qu'il ne comprends pas, c'est que même si j'ai probablement une meilleure alimentation que lui overall, malgré les compulsions, j'ai amoché mon corps avec les années de troubles alimentaires et de diète extrême. Mon système résiste à la perte de poids. S'il me suggère encore d'aller voir la diététiste qui lui a recommandé de boire des smoothies le matin ou de prendre des petites marches, je pense que je le mord.
Le problème n'est pas là. Je pourrais écrire une encyclopédie sur la nutrition. Le problème, c'est que je me suis remise à compulser, ce qui me fait grossir. Et que lorsque je ne compulse pas, je ne maigris pas. Mon corps semble avoir besoin de solutions inaceptables pour mon esprit. C'est toujours possible de tromper son corps, mais à quel prix, et pour combien de temps?
Les emmerdeurs me diront qu'il est vrai que je ne m'entraine pas beaucoup ces jours ci, et que ça aiderait sans doute. À celà, je répondrai que vous avez le droit de m'emmerder si vous savez ce que c'est, s'entrainer pour ne rien perdre du tout. Bien sur, il y a l'argument de la santé, mais il y a aussi les journées remplies, de bébé mais aussi de marches, de vélo... Que des excuses pour ne pas y aller plus fort, je le sais, mais je sais aussi que la plupart de ceux qui jugent n'ont pas "besoin" de mettre les pieds dans des running shoes et s'imaginent tout savoir sur la simple science de l'amaigrissement, alors qu'ils sont dans le champ. Bref, je devrais, mais ne le fait pas, et personne n'a le droit de juger ça sans marcher dans mes godasses.
Ma meilleure méthode de perte de poids, ça a été l'antirégime, et donc d'arreter de stresser avec l'affaire. Et voilà que je me retrouve encore avec un psy qui y croit à moitié... Je me retrouve donc seule contre mes idées régimiennes, sans quelqu'un qui comprenne vraiment la question pour me faire entendre raison.
Mais bon, malgré son incompréhension de la spirale hormonale (et psychologique!) du gain de poids, il m'aide. Indulgence donc!
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